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jeudi 16 janvier 2020

UNE CHANSON versions 1 et 2





JE ROULE DANS LA NUIT versions 1 et 2





LA CHANSON DE PREVERT

LE POINT DU JOUR

MALAÏKA versions 1 et 2





UNE ÎLE AU SOLEIL

QUAND LE SOLEIL DIT BONJOUR AUX MONTAGNES

vendredi 7 juin 2019

UN AIR DE BANJO (Washington Square)




Paroles et musique: Sacha DISTEL 

La pluie d'hiver sur les carreaux
Frappait ses gouttes d'eau
La pluie d'hiver sur les carreaux
Jouait un air de banjo
Les doigts posés sur son banjo
Le musicien dormait
Les doigts posés sur son banjo
Le musicien rêvait, 


Rêvait que la musique
Qu'il avait composée

Partait pour l'Amérique
Et y devenait un succès

Partout là-bas la nuit le jour

On jouait sa chanson
Dont tous les mots parlaient d'amour
De retour et de pardon

Afin, afin peut-être
Que celle qu'il aimait
L'entende enfin peut-être
Et lui revienne à jamais

Tous les orchestres du monde entier
Sans cesse la jouait
Et lui dans son rêve il voyait
Des millions de couples danser

Danser sur sa musique

Dans un rythme infernal
Sur une immense piste
Sortant d'une boule de cristal

Et c'est alors qu'il aperçut

La fille qu'il aimait
Et c'est alors qu'il aperçut
La fille, la fille qui riait
La pluie d'hiver sur les carreaux
Cessa ses gouttes d'eau
La pluie d'hiver sur les carreaux
Cessa son air de banjo

Les doigts posés sur son banjo

Le musicien pleurait
Sans voir la porte qui s'ouvrait
Sur la fille qui revenait

OUAIS (A. BARRIERE)




Paroles et musique:Alain BARRIERE
J'aurais tant voulu la garder, ouais
Encore un peu la cajoler, mais

Mais le printemps s'en est venu
Elle s'en est allée presque nue
Faire son nid sous d'autres cieux, ouais
Se consacrer à d'autres dieux, ouais


Au printemps, les oiseaux s'envolent
Surtout s'ils sont un peu frivoles
Pour quelque rêve de juillet

Quand l'automne nous roussira, ouais
Que de là-haut nous tombera, ouais
Toute la lave de ses ébats
Le Vésuve n'en reviendra pas
Peut-être bien qu'elle reviendra, ouais
Avec sa gueule de chinchilla, ouais
Sa pauvre gueule de chien battu
La queue bien serrée sur son cul
La tête vide et le cœur nu

Et que ferai-je dans ce cas-là ?
La vie que j'ai vécue déjà, moi
Me fait penser qu'il me faudra
Faudra y réfléchir deux fois
Avant de crier "Taille-toi, va !"
Ou bien de lui ouvrir les bras, moi
À moins, à moins que je prenne la route
Y a que le premier pas qui coûte
Pour m'en aller sous d'autres toits

À moins que je prenne la route
Y a que le premier pas qui coûte
Pour m'en aller sous d'autres toits

LE PRINTEMPS NE VIENDRA PAS




N'interroge pas les nuages
Il fait gris, ce n'est pas bon présage
Le vent du nord souffle, le ciel est si bas
Le printemps ne viendra pas

Ne recherche pas une feuille
Un arbre aussi nu n'a plus d'orgueil
L'arbre aussi se givre, l'oiseau meurt de froid
Le printemps ne viendra pas

L'hiver n'en finira plus
Si tu n' m'es pas revenue
Fais vite, le temps presse
Loin de ta tendresse
Le bonheur n'existe plus

Ne t'étonne pas, la fontaine
Ne versera plus de larmes malgré sa peine
Son miroir de glace ne se brise pas
Le printemps ne viendra pas

N'imagine pas le village
La grande place supplie quelque passage
Le clocher à l'aube résonne si bas
Le printemps ne viendra pas

L'hiver n'en finira plus
Si tu n' m'es pas revenue
Fais vite, le temps presse
Loin de ta tendresse
Le bonheur n'existe plus

Si tu n'es plus là
Le printemps ne viendra pas

JE ROULE DANS LA NUIT


JE ROULE DANS LA NUIT
texte et musique: JJ DEBOUT

Je roule dans la nuit sous une pluie d'étoiles
 Je roule dans un train qui me conduit vers toi 
 Ma course est bien finie, j'ai replié la voile
 De mon pauvre bateau qui s'ennuyait de toi

 Je roule dans la nuit qui m'apparaît profonde 
 Et je me sens ému au plus profond de moi 
 Je vois un sémaphore, je vois passer des ombres 
 Je roule dans un train qui me conduit vers toi 

 Je roule dans la nuit, je vois un uniforme 
 C'est un soldat qui part rejoindre son drapeau 
 Une mère qui pleure, un enfant qui s'affole 
 Moi, je roule vers toi, que tout me semble beau !

 Je roule dans la nuit, je croise des machines
 Qui déchirent le vent et qui hurlent à la mort 
 Je vois un cimetière et je vois des usines 
 Et l'aube se lever sur ce triste décor 

 Je roule dans la nuit sous une pluie d'étoiles 
 Je roule dans un train qui me conduit vers toi
 J'aperçois ton clocher dans le matin si pâle
 Et voici cette gare où tu m'attends déjà